Vous savez, la nature est ce que nous avons de plus précieux. Elle est partout autour de nous, même lorsque nous ne pensons pas la voir. Elle est abondance, elle est amour, elle est bonheur, elle est connexion. Elle est la définition même de l’amour inconditionnel.
Pourquoi? Regardez comment notre société actuelle la traite. On la détruit, on la néglige, on l’utilise à en abuser, on la prend pour acquise… Et malgré tout ça? Elle continue d’être magnifique, de nous donner tout ce qu’elle peut nous offrir, d’être continuellement là pour nous. Peu importe ce qu’on fait, elle est toujours là. Peu importe ce qu’on dit d’elle, le jugement qu’on lui porte, la valeur (ou pas) qu’on lui donne, elle est là. Jours après jours, pour nous donner le meilleur d’elle-même.

N’est-ce pas une fabuleuse leçon à retirer? Ou plutôt deux! Pensez-y, si tout l’monde agissait avec la nature de la même façon qu’elle agit avec nous, le monde ne serait plus autant malade qu’il ne l’est en ce moment. On serait conscient de redonner à la nature tout ce qu’elle nous offre, tout ce qu’on peut lui offrir. On vivrait dans une parfaite symbiose en étant conscient qu’on dépend l’un de l’autre. Oui, la nature est à notre disposition. Mais il ne faut pas oublier à quel point nous sommes dépendant d’elle. Si, du jour au lendemain, elle décide que nous n’avons plus notre place sur cette planète et qu’elle ne nous offre plus rien, peu importe la quantité d’argent dans notre portefeuille, nous ne pourrons pas survivre. Notre société nous apprend à nous détacher de ce que nous dépendons pour survivre, pour nous attacher à quelque chose de complètement insignifiant.
Il est temps qu’on se réveille et qu’on se rappelle à quel point la nature est importante pour un humain. À quel point nous y sommes connectés. Nous brouillons sans cesse cette connexion et nous nous rendons malades. Nous ainsi qu’elle. Le virus en ce moment, nous le créons nous-même en se détachant de notre connexion universelle. Le virus en ce moment, c’est nous-même. Nous sommes le virus de la planète. Nous la détruisons à petit feu. Nous ne savons plus comment lui rendre hommage. Nous avons oublié son importance, sa nécessité pour notre survie. Nous avons oublié à quel point nous sommes une partie d’elle et qu’elle est une partie de nous. Nous sommes tellement poussés vers l’individualiste pour »espérer rester en vie », que c’est exactement ce qui nous rend malade.
Imaginez, si nous agissions avec les autres humains de la même façon que la nature agit avec nous : si on aidait tous notre prochain du mieux que nous le pouvons, sans jugements, sans critiques, sans haine inutile, sans égo, sans peur… Vous rendez-vous compte de la différence de société que nous pourrions expérimenter? J’ai lu un livre dernièrement et l’analogie vaut la peine d’être mentionnée ici :
Nous sommes les cellules de notre planète. Chacun d’entre nous est une cellule et nous travaillons ensemble pour maintenir le bon fonctionnement de cette planète, de cet environnement, de cet écosystème. Si une cellule en attaque une autre, dans le corps humain, on appelle ça un cancer. Alors lorsque vous attaquez une autre cellule de la planète, que ce soit de maltraité la nature, de la négliger, mais aussi de juger et de rabaisser un autre humain, de devenir selfish et de ne penser qu’à votre bonheur au détriment de n’importe quoi ou qui d’autre, et bien vous devenez également un cancer pour la planète.
Heureusement, chaque cellule a une capacité de régénération et elle peut toujours s’en remettre et reprendre sa place initiale. Pour ça, elle doit se reconnecter avec les autres cellules et accepter de se faire aider, d’être vulnérable le temps de sa guérison. Chaque cellule mérite de se régénérer et de contribuer au bien-être de chaque écosystème.
Comme chaque humain mérite de se réveiller et de reprendre sa place dans l’écosystème naturel dans lequel il est né, duquel il dépend.
Êtes-vous prêt à reprendre votre place auprès de mère nature? Elle n’attend que ça depuis si longtemps!
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